"Au-delà de la Connaissance"_Le message de Métatron ?
- Lien Aelig

- 12 août 2023
- 15 min de lecture
Prenez une bonne heure devant vous, armez-vous de patience car cela sera long ! Et rien ne vous empêche de lire petit-à-petit ce décodage et d'aller à votre allure... Et pour ceux qui le souhaitent, il existe également la version podcast de cet article !
***
Écouter en Podcast le poème : https://youtu.be/sJJ4EBSzr-Y
Écouter cet article en Podcast :
Il y a environ un an, - exactement le dimanche 10 Juillet 2022 ; 10/07/2022 pour ceux qui aiment la numérologie ; ), j'ai canalisé le poème "Au-delà de la Connaissance" de l'Archange Métatron. Alors que je "retombe" sur ce poème et le relis, quelque chose résonne en moi et tout me semble évident : à l'époque je l'avais décrypté avec une de mes proches, "il est temps" que je "reprenne ce temps" afin de décoder ce poème et de vous le partager.
Je tiens bien sûr à préciser que la lecture du poème qui suivra se fera selon mes lunettes du moment, (de l'instant-t et par rapport à mon évolution personnelle), et selon l'inspiration que j'aurai des Êtres de Lumières qui m'accompagnent.
Ces-derniers aiment jouer avec les mots : tout ce qu'ils partageront en message, en image, en odeur, en son ou même dans les voyances, guidances, prédictions prophétiques, tout n'est pas à prendre au premier degré. Tout sera symbole et tout symbole, image ou jeu de mot s'ouvre au champs des possibles : c'est-à-dire qu'il existe une infinité de manière de les décrypter et de les décoder.
Voilà donc le décodage à travers mes lunettes du moment, je vous invite à y jeter un coup d’œil, à regarder à travers les vôtres mais aussi à changer de lunettes afin de mieux "voir" et de mieux "comprendre". Bref, c'est parti !

***
"Au-delà de la Connaissance" :
Le message de l'Archange Métatron ?
> Premier décodage : Le titre
Le titre en lui-même va nous éclairer sur la suite du poème : "Au-delà de la Connaissance".
L'au-delà, dans notre réalité, pour beaucoup de personnes, se rapporte à la mort, aux défunts. Ils n'ont pas tout à fait tort d'ailleurs. Pour les guider vers ce chemin, je dirai juste ceci : "la mort n'est pas une fin en soi. Elle est la continuité de quelque chose... Un passage de désincarnation pour l'âme, comme la conception est un passage d'incarnation de l'âme". L'âme est conscience énergétique, elle continue donc à Être après la mort, tandis que le corps qui a véhiculé l'âme durant son incarnation, lui, se décomposera. L'au-delà n'est donc pas spécifiquement synonyme de la mort, mais plutôt d'un monde subtil plus grand que Nous, que l'on ne peut voir avec nos yeux mais que l'on peut sentir avec les cinq sens de notre cœur... l'au-delà est donc tout ce qui est invisible, toutes les énergies qui nous entourent, qu'elles se manifestent à travers une matière ou de manière aléatoire et indépendamment de cette matière : c'est tout ce qui se rapporte au monde invisible, non visible avec nos yeux mais avec ceux de notre cœur... l'au-delà du visible et souvenons-nous que ce n'est pas parce que cela ne se voit pas que ça n'existe pas !
La Connaissance avec un grand C... tout un sujet ! Différent du savoir terrien limité, se trouvant dans des livres historiques et scientifiques, écris par des hommes et des femmes selon leur façon de percevoir le monde, la Connaissance, illimitée et infinie, n'est autre que les enseignements qui font évoluer l'âme. Mais comme la Source, Gabriel, Métatron et Archéryon le disent si bien : "Pourtant, un monde qui sait est un monde ignorant". Eh oui ! Plus on sait moins on sait... voilà bien une chose que nous apprends l'humilité mais aussi lorsque, au détour d'un chemin, notre guide spirituel nous amène à la Source ou encore aux Annales Akashiques...
Les Annales Akashiques sont la clé USB, le disque dur, l'ordinateur, la mémoire de chaque âme (Conscience spirituelle lumineuse et énergétique), de ses incarnations, de sa naissance (Origine, la Source), à chaque de ses éveils spirituels, de tout ce qu'elle expérimente, apprend, etc. Toutes les informations, provenant de la planète Terre, d'une autre planète, d'un autre Univers, d'un monde parallèle, ils sont récupérés et encodés via des supports, des ondes de formes servant à cela (crâne de pierre, géométrie sacrée : triangle, fleur de vie, rond..., pierres, etc) et sont regroupés aux Annales Akashiques, dont l'Archange Métatron en est le gardien.
Le titre nous parle donc de quelque chose de "Au-delà de la Connaissance", quelque chose d'invisible, dans un monde subtil invisible, au-delà des annales Akashiques, des mémoires de chaque âme... Métatron nous donne-t-il la clé sur un plateau qui nous permettrai de comprendre le fonctionnement de notre système et, pourquoi pas, de notre évolution ? Nous donne-t-il ici la possibilité d'une seconde chance sans cependant répéter les erreurs du passé ? Nous donne-t-il la clé de notre Éveil ?
Décryptons le poème entièrement afin de le découvrir !
> Second décodage : Le poème
Strophe 1/7 :
Vois-tu l'orage gronder au loin ? : Selon météo France, un orage est un phénomène atmosphérique, caractérisé par une série d'éclairs et de coups de tonnerre. En mythologie grec, c'est Zeus qui détient deux foudres dans ses mains, on dit que c'est un Dieu au-dessus de tout les autres dans le Panthéon (chez les Grecs) ou à l'Olympe (pour les Romains), il gouverne donc sur les autres divinités. Lorsqu'un orage approchait, les Romains pensaient alors que Zeus était en colère. Voir l'orage qui gronde au loin peut se rapporter à une colère sourde qui arrive, une colère trop longtemps enfouie ? Ou alors est-ce un vent de révolte afin d'éveiller l'Humanité ? Selon le langage oiseau (manière de décoder selon la phonétique des mots et des phrases des alchimistes), l'orage signifierait : l'eau qui rage, la rage de l'eau. En sachant que, Poséidon, frère de Zeus, est le dieu de la mer ; l'orage en mer se rapporte à de la tempête, et la tempête précède le calme, "le calme avant la tempête".
En passant du couplet au refrain : Dans le vocabulaire de la chanson, le couplet désigne les strophes d'une chanson qui alternent avec un refrain et dont les paroles sont uniques. Tandis que le refrain est une strophe d'une chanson qui conserve toujours la même mélodie, le même texte et qui revient périodiquement entre chaque couplet. Le refrain peut être comparé à un cycle ou à un cercle vicieux : il revient souvent et se répète. Passer du couplet au refrain pourrait signifier que quelque chose est sur le point de se répéter, une erreur humaine, peut-être ? Ou bien autre chose ? Comme l'histoire, par-exemple ? Comme la vague dans la tempête...?
De un tiers en début de fin : En mathématique et en proportionnalité, un tiers reporté sur 12 équivaut à 4 car 4x3 = 12. Donc "un tiers en début de fin" (début de la fin), serait le commencement du dernier tiers de l'année donc le début des 4 derniers mois de l'année. En sachant que ce poème a été canalisé en juillet 2022 et que j'écris cet article en août 2023, il reste pile 4 mois avant la fin de l'année. En conclusion par rapport à ces 3 premiers vers, l'orage qui gronde au loin (colère, révolte) serait le refrain, donc la répétition de cet orage durant les 4 derniers mois de l'année ? ...ou quelque chose dans ce sens là...
Si j'avais pu, j'aurai écris un alexandrin : La formulation de "si j'avais pu" exprime un regret. "Si j'avais pu j'aurai écrit un alexandrin". Dans le vocabulaire de la poésie, un alexandrin est un vers de douze syllabes. Et pour cause ! À un vers près, "Si j'avais pu, j'aurai écrit un alexandrin" aurait été en 12 syllabes, et donc un alexandrin... Et en allant plus loin, dans "alexandrin" on entend "Alexandrie", et qui dit Alexandrie dit Égypte ! Qui dit Égypte dit la bibliothèque d'Alexandrie, l'une des plus grandes bibliothèque du monde fut un temps, une bibliothèque où l'on trouvait des parchemins très anciens, introuvables ailleurs dans le monde (lien avec le savoir, la connaissance ?) ! Mais qui dit Égypte, dit aussi Pyramides de Gizeh (corps à 4 face triangulaire équilatéral avec une base carré : géométrie sacré, donc portail énergétique, encodage...) ! Est-ce que cela vous dis quelque chose ? Continuons le décryptage de ce poème et vous comprendrez... peut-être !
Strophe 2/7 :
Nouvelle ère de celle de l'ombre : Une ère se rapporte à des périodes historiques plus ou moins longues, marquées par un évènement majeur, qui contribue à une certaine évolution ou non. "Nouvelle ère de celle de l'ombre" pourrait s'entendre comme : "nouvelle ère différente de celle de l'ombre". On comprend donc que cette nouvelle ère différente de celle de l'ombre peut être la lumière, car la lumière serait le contraire de l'ombre. Et cette nouvelle ère, marquée par le mot "nouveau", agit comme un renouveau sur une ère d'obscurité. Mais qu'est-ce qu'une Ère de Lumière ou une Ère d'ombre ?
Une lumière das un siècle sans nombre : Ce vers vient donc confirmer le premier de cette strophe : la lumière. Et comme on sait que le Temps n'existe pas, on comprend alors la formulation "siècle sans nombre". Et nous savons que cela fait 23 ans que nous avons non seulement changé de siècle mais aussi de millénaire ! La lumière serait-elle donc destinée à arriver dans ce siècle, courant ce millénaire ?
Une clarté par-delà l'horizon : Je pense que ce vers est assez claire : "la clarté par-delà l'horizon", on comprend que le ciel est dégagé, contrairement dans la première strophe qui nous parle d'un orage qui arrive au loin. La clarté vient bien-sûr compléter la lumière, car qui dit lumière dit clarté et qui dit clarté dit lumière ! Mais la clarté peut aussi être un voile qui se lève, l'arrivée d'une prise de conscience ("par-delà l'horizon") et donc "on y voit plus claire" !
Je change de période et de chanson : Voilà qui est intéressant ! Le début de cette strophe nous parlait d'une nouvelle ère, et ce vers viens nous le confirmer : "Je change de période". Tandis que la chanson... et bien je fais le lien avec le refrain de la première strophe : "vois-tu l'orage gronder au loin ? En passant du couplet au refrain". Dans cette chanson, le refrain c'est l'orage qui arrive et donc la colère, et là, non seulement Métatron propose de changer de période mais aussi de chanson ! Ce qui signifie que le refrain ne sera plus sur l'orage, la colère et l'ombre, mais sur la nouvelle ère de Lumière ! Nous avançons, nous avançons...!
Strophe 3/7 :
La nature se souvient : elle sait se régénérer : La nature se réfère à l'un des 5 éléments, la terre, et chaque élément a une mémoire, donc, oui, "la nature se souvient". Et oui, elle se régénérer, car la terre a l'habitude de muter au fur à mesure des ères et des périodes, donc elle se souvient comment se régénérer, elle saura comment faire. Métatron nous dit ici que la nature, la planète Terre, sait faire toute seule et n'a pas besoin de l'Homme pour cela. Serait-ce alors une invitation de Métatron à ce que l'Homme se recentre d'avantage sur lui-même plutôt que de s'inquiéter pour la planète qui l'héberge ?
Une sculpture de pierre qui prend vie : En prenant un temps de réflexion, lisez ce vers. A quoi vous fait-il directement penser ? Pour ma part cela a été évident, j'ai pensé aux statues de Moai, sur l'Ile de Pâques. Vous savez, ces statues géantes, alignées, qui regardent toutes vers le ciel ? Voilà ! Mais que font-elles au milieu de ce poème ?! Eh bien il y a un lien avec l’Égypte et un autre monument qui sera évoqué dans la suite du poème. Surtout que personne ne sait qui a taillé et placé ces pierres gigantesques sur cette île, car comme quoi aucun moyen de l'époque ne l'aurait permis... tien ! cela ne vous fait-il pas penser aux pyramides de Gizeh ? Continuons ! Tout cela est très intéressant !
L'Homme en aventure, saura-t-il se laisser aller : Et si je tournai la phrase ainsi, peut-être comprendrez-vous mieux ? "L'Homme en évolution saura-t-il faire confiance, lâcher prise et accueillir ?" Je vous laisse y réfléchir et je n'en rajoute pas plus !
Découvrir un monde palpable d'énergie : "Découvrir un monde palpable" signifierait que l'on pourrait le toucher, et ce monde palpable fait d'énergie... ferait référence à la découverte, certes, mais à la prise de conscience d'un monde subtil énergétique autour de nous, et que, durant son évolution, si l'Homme fait confiance, lâche-prise, accueille pourra bientôt entrevoir ? Est-ce ce que nous prévoit cette nouvelle ère de Lumière, ce refrain de cette nouvelle chanson, différent d'un refrain orageux, de colère et d'obscurité ?
Strophe 4/7 :
La terre promise la vois-tu, enfin : La terre promise peut être interprétée de diverses manières : elle peut faire référence au paradis, qui selon la religion chrétienne, est un endroit de rêve où vont après la mort les âmes pures sans péchés. Elle peut faire référence au jardin d'Eden où étaient Adam et Ève avant d'avoir mangé le fruit du savoir offert par le serpent. Elle peut aussi faire référence à "la Terre Sainte", en Israël, où Jésus est né et à vécu ; à Jérusalem où il a ressuscité, cité dans la Bible hébraïque, dans la Genèse et dans la Torah. Elle serait de promesse faite par Dieu, comme étant une promesse de vie. Selon notre lecture, elle pourrait imager le "Nouveau Monde" tant attendu par tous, avec plus ou moins de conscience. Et selon la Source, Gabriel, Métatron et Archéryon "Tout ce qui est à revoir est déjà là", car même si nous attendons ce Nouveau Monde, cette Terre Promise, de la bâtir, de la construire, elle est déjà là ! "La terre promise la vois-tu, enfin ?"
D'un édifice qui ne vaut pas l'Or : Selon moi, il n'est que d'une chose que l'or du monde ne peut égaler. La vie, la Source, l'Origine de Vie, la puissance de Vie : l'Amour Inconditionnel qui est cet édifice qui ne vaut pas l'Or du monde ; en fait l'Amour n'a pas de valeur financière ou matérielle, l'Amour Est. Alors, est-ce que ce serait cela, la Terre Promise, le Nouveau Monde, la nouvelle ère différente de celle de l'ombre ? Ce serait une ère, une terre, un monde de lumière fait d'Amour ? Où l'on s'Aime et où l'on Aime ? Mmm... Continuons notre décodage !
Il reste un quart, un petit quatrain : Faisons le lien avec le commencement du dernier tiers de l'année, ici on nous dit qu'il reste un quart, un petit quatrain. En sachant que 1/3 de 12 mois est égal à 4 mois, que 1/4 de 12 mois est égal à 3 mois, qu'il ne reste que ce petit quatrain, on peut alors penser qu'il ne reste que 3 mois avant la fin de l'année. Oui mais pourquoi énoncer si précisément qu'il ne reste que 4, puis 3 mois avant la fin de l'année ? Est-ce un délai, une date butoir ? Et après quoi, le renouveau ? Décodons la fin de ce strophe afin de mieux comprendre ce vers-ci.
Trop petit pour ma part, je découvre encore : Le vers ici est très clair, le délai, la date butoir de ces 4 et 3 derniers mois sont trop courts et que nous avons encore beaucoup à apprendre afin d'évoluer, car on apprend toujours, tous les jours, on ne cesse d'apprendre, encore et encore. Ce strophe nous dit-elle que la Terre Promise, le Nouveau Monde, la nouvelle ère différente de celle de l'ombre est là, devant nous, qu'il y a une date butoir pour l'atteindre mais que nous avons encore beaucoup à découvrir, à apprendre, à comprendre ? Et si cette Terre Promise, ce Nouveau Monde, cette nouvelle ère de Lumière différente de celle de l'ombre était en nous ?
Strophe 5/7 :
Il est de promesse que celui que l'on tient : Cette promesse qui ne peut être que si on la tient, pourrait faire référence au contrat que les âmes passent avant de s'incarner. Le contrat pourrait stipuler ce qu'elle a choisit d'apprendre, d'expérimenter afin d'évoluer, et si le contrat n'est pas totalement rempli, elle se réincarne ?
Il est de vieillesse que celui qui se souvient : En continuant sur le chemin subtil de la conscience énergétique et lumineuse qu'est l'âme, je dirai que ce vers évoque une vieille âme qui apprend, comprend et se souvient de ses erreurs passés et de toute la connaissance qu'elle a engendré.
Il est de jeunesse que celui qui revient : Sur le même chemin, je pense que ce vers évoque l'âme qui se réincarne, "la jeunesse qui est que si elle revient", puisqu'à chaque incarnation le corps que cette conscience incarne passe par la conception, la naissance, l'enfance, l'adolescence et après par la vieillesse et la mort. En effet, on peut dire qu'il n'est de jeunesse que celui qui revient, donc d'une âme qui se réincarne.
Il est de justesse que ce qui Est sans demain : Ce qui est juste est ce moment, cet instant-t, ce présent. Car il est important, essentiel de vivre, d'être, d'incarner ce présent, cette présence. "Ce qui Est sans demain", sans lendemain, juste cet instant-là. Nous savons que le Temps est illusoire et qu'il n'existe pas, mais qu'il existe une infinité de présent, cette infinité de présent que l'on nomme "les lignes du Temps" ou encore "la roue du Temps".
Strophe 6/7 :
Il est d'une Lumière qui se veut divine : Cette lumière de cette nouvelle ère, de cette Terre Promise, de ce Nouveau Monde, cherche à évoluer jusqu'à devenir divine ? Donc elle se veut, "vraie", sincère, emplit d'Amour, de compassion et de Gratitude ?
Il est d'un secret perdu, oublié dans les abîmes : Un secret perd, oublié dans les abîmes ? Personnellement, je pense directement à l'Atlantide ! Notre 3è édifice avec les pyramides de Gizeh et les statues de l'Ile de Pâques. Ces trois édifices ont un lien : autour d'eux (comme beaucoup d'autres à travers le monde), plane un mystère, nous ignorons qui les a bâti, sculpté, pourquoi l'Atlantide a disparu et reste introuvable, à l'état de "mythe", et pourquoi les statues de Moai et les pyramides de Gizeh sont encore debout ? Pourquoi l'un, grand, imposant, aligné, regarde vers le ciel, et l'autre arbore une forme géométrique sacrée avec Pi et le nombre d'Or que l'on retrouve dans sa construction et ses fondations ? Je peux émettre l'hypothèse de 1, l'Atlantide a été construit par une population extraterrestres et a disparu car, comme nous, beaucoup de chose a dépassé les Atlantes ; ou pour éviter une hécatombe la nature s'en est chargée en les ensevelissant sous l'eau et, le temps en les rendant au rang de mythe. 2, les statues auraient été sculptées par une population évoluée et extraterrestre, ce qui fait que lesdit statues regardent vers le ciel attendant que cette population reviennent les chercher ou bien en regardant vers le haut elle cherche à nous montrer quelque chose de subtil, d'invisible ? Et enfin, 3, et si ces pyramides, également bâties par une population évoluée, peut-être extraterrestres, n'étaient pas des tombeaux mais des portails vers d'autres mondes, et les sarcophages, des... Med Bed, ces lits, chambres quantiques où un être repose afin de suivre le processus de trans-guérison ? Ce ne sont, bien sûr, que des suppositions, libre à vous d'en faire ce que vous voulez et d'en penser comme vous l'entendez... le ressentez !
Peut-être saurez-vous en vous laissant guider : Et si je tournai la phrase ainsi : "Peut-être aurez-vous accès à la Connaissance, au monde subtil, à l'énergie, en faisant confiance avec discernement aux Êtres de Lumière qui vous guideront pas à pas vers ce monde invisible ?"
Peut-être aimerez-vous en vous laissant aimer : Et si je tournai également cette phrase de cette manière aussi : "peut-être saurez-vous Aimer vous Aimant vous-même et en vous laissant Aimer par les autres, par le monde, par l'Univers, la Source, etc ?"
Strophe 7/7 :
L'orage gronde au loin.
Passons du couplet au refrain,
De un tiers en début de fin ;
Si j'avais pu, j'aurai écris un alexandrin.
Cette dernière strophe bien que légèrement différente de la première, à un ou deux mots près, alors que la première strophe exprime une énergie de questionnement ("Vois-tu l'orage gronder au loin ?"), la dernière strophe s'affirme comme... eh bien une affirmation ! ("L'orage gronde au loin.") Elle dit que l'orage (colère, révolte) ne peut être évitée puisqu'elle affirme que "l'orage gronde au loin", que le refrain revient, donc quelque chose se répète, arrive durant les 4 derniers mois de l'année (commencement de la fin, "de 1/3 en début de fin") et que "il" aurait pu, s'il en avait les moyens, il aurait écrit un alexandrin", donc Alexandrie : Égypte, Gizeh... En supposant que c'est Métatron qui s'exprime à la première personne du singulier, étant donné que je canalise de lui, il explique donc que ce qui arrive n'est pas de son fait et indéniable... pourtant ! Tout ce qui a été dit entre la première et la dernière strophe indique que c'est à l'Homme, donc nous humain, terrien, de nous prendre en charge et de changer ce futur afin de bâtir celui que l'on désire vraiment et ne pas répéter certaines erreurs de peuples primaires avancées, comme ceux qui ont bâti Gizeh, l'Atlantide ou encore les statues de Moai sur l'Ile de Pâques.
> Troisième et dernier décodage : Synthèse et conclusion du message de Métatron
Si je synthétisais cette lecture, voilà la conclusion que j'en ferai : l'Archange Métatron nous prévient d'un futur possible qui semble inévitable : "Vois-tu l'orage gronder au loin ? En passant du couplet au refrain, De 1/3 en début de fin ; Si j'avais pu j'aurai écrit un alexandrin."
Pourtant, tout au long du poème, il nous donne accès à certaines connaissances afin que l'on comprenne que rien n'est véritablement définit, que nous pouvons changer ce futur qui n'est pas aussi inévitable qu'il en a l'air. Car dans le champ des possibles, il existe une infinité de futur, comme une infinité de passé et de présent. C'est à nous de choisir ce que l'on veut en faire, ce que l'on veut mettre en place, construire, bâtir... car au final, entre l'orage qui semble arriver de manière imminente, comme cette Terre Promise, cette nouvelle ère différente de l'ombre, ce Nouveau Monde, entre les deux il n'y a qu'un seul pas ! Subtilement, tout n'est pas si extérieur que cela ! Et si, justement, comme on aime bien projeter diverses choses de nous-mêmes sur les autres (amour, peur, croyances, blessures, comportement...), et si l'extérieur n'était qu'une projection de notre intériorité ? Cet orage serait donc interne et la Terre Promise aussi ?
Alors en effet, je pense que le message de Métatron c'est que, justement, au-delà de la Connaissance que l'on peut acquérir dans les livre ou celle de l'âme avec ses incarnations ou les encodages sur elle ou sur cette planète Terre, au-delà de cette connaissance là, la clé et la réponse de tout est déjà en Nous !
Voilà ma lecture de ce poème. Peut-être en avez-vous une différente de la mienne ? Je serai intéressée de la connaître, partagez là dans les commentaires !
Lien Aelig







Commentaires